L'ambiance était au rendez-vous ce vendredi 18 décembre à l'occasion de l'ouverture du traditionnel Marché de Noël sur la place Cardinal Mercier. Avec le Père Noël, la fanfare, la réception à l'Eglise St-Pierre et sous une surveillance policière renforcée par des militaires, les Jettois ont fait la fête au milieu des dizaines de chalets qui proposaient de quoi boire, manger, se réchauffer, décorer ou offrir. Le Marché s'est poursuivi durant tout le week-end pour permettre à tous les Jettois d'y faire un tour pour bien démarrer ces vacances d'hiver.

Certaines personnes, bien intentionnées mais mal informées, veulent aider les oiseaux, surtout en hiver, en leur jetant de la nourriture. Or, plusieurs espèces animales (pigeons, corneilles et perruches) peuvent devenir très envahissantes si elles sont trop nourries.

Le pigeon urbain est issu d’individus domestiques installés dans nos villes.

Il y forme de véritables colonies et occupe une place bien visible dans notre quotidien.
Cependant, la multiplication de ces colonies de pigeons pose de véritables problèmes de salubrité publique. Les excréments de pigeons sont porteurs de germes de différentes maladies qui peuvent se transmettre selon deux vecteurs principaux : le contact et, plus fréquemment, l’inhalation.

Ainsi, les poussières de fientes (un pigeon produit 12 kilos de fientes par an !) peuvent provoquer des maladies dues à des infections bactériennes telles que la salmonellose, la listériose ou la toxoplasmose. A cela s’ajoutent toutes sortes de nuisances telles que les salissures sur les façades, toitures et véhicules ainsi que les odeurs nauséabondes.

Cette prolifération est due notamment au nourrissage intempestif des pigeons, aussi bien sur la voie publique que dans les jardins ou sur les balcons, nourrissage qui est pourtant interdit en vertu du Règlement Général de Police.

Sachez que, sans contrôle, un couple adulte se reproduit quatre à six fois par an et que cinquante pigeons peuvent engendrer mille petits par an !

Si le respect de cette mesure est impératif, il n’en est pas moins insuffisant, l’automobile étant quasi le seul prédateur des pigeons en ville !

Je me suis informé quant aux méthodes utilisées dans d’autres villes et communes afin d’endiguer cette prolifération néfaste.

La capture reste, à ce jour, la méthode la plus efficace.

Les captures se font à l'aide de cages, implantées dans les endroits "sensibles", c'est à dire colonisés par les pigeons.

Il convient d’appâter les pigeons en les nourrissant journellement à heure fixe (souvent tôt le matin, au lever du soleil). Les horaires d’ « appâtage » sont choisis comme horaires de capture.

Cette solution, qui respecte l’équilibre écologique et la biodiversité, ne peut se faire que sur une période allant de mars à octobre. Ce procédé est homologué et suivi par la Société Protectrice des Animaux.

Malheureusement, certains secteurs, lourdement touchés, ne peuvent être traités car il arrive que les opérations de captures soient gênées par les habitants qui nourrissent régulièrement les pigeons. Suffisamment nourris, ces volatiles n'éprouvent pas le besoin de pénétrer dans les cages pour prendre les graines déposées à leur intention.

Parallèlement à ces opérations de captures, il convient d’installer des pigeonniers dans certains lieux stratégiques de la commune pour favoriser la colonisation en quelques sites seulement (je pense aux Bois de Dieleghem et du Laerbeek par exemple) et faciliter ainsi la capture d’individus et la stérilisation des œufs. Cet équipement s’intègrerait parfaitement dans la végétation tout en préservant l’environnement.

Les pigeonniers permettent un véritable contrôle des populations en limitant la natalité.

Dans un premier temps, après un tri sanitaire effectué sous contrôle vétérinaire, la population locale de pigeons est capturée et enfermée au sein de ces pigeonniers pour une période de 4 à 6 semaines avec une nourriture saine et de l’eau.

Ensuite, une fois les pigeons fidélisés, ils sont libérés et partent à la recherche de leur groupe.

Enfin, gîte et couvert obligent, ils ramènent la colonie vers les pigeonniers qui constituent leur nouvelle structure familiale et où un contrôle régulier des populations peut être effectué par élimination des œufs.

Les œufs peuvent aussi être systématiquement remplacés par des œufs synthétiques (remplacement total ou partiel des œufs par des œufs de plâtre ou de chaux).

Cela limite le nombre de naissances et fait lentement mais sûrement, baisser le taux de population.

Cette méthode semble faire ses preuves dans de nombreuses villes et communes où le nombre de pigeons a fortement diminué.

C’est tout profit pour le bien-être des personnes et la sauvegarde des biens.

Mais envisager de lancer un projet de pigeonniers urbains doit s’accompagner d’une campagne de sensibilisation de la population.

Ce constat établi, et vu le nombre de pigeons présents sur le territoire de notre Commune, j’aimerais connaître la politique menée par celle-ci en matière de lutte contre la prolifération de cette espèce animale.

Quelles mesures ont-elles été prises jusqu’ici et quels en furent les résultats ?

Des pigeonniers ont-ils déjà été installés sur notre territoire ?

Des études ont-elles été menées sur ce sujet, compte tenu de nos spécificités locales ?

Cela devient une tradition : l'asbl "Sport à Jette" organise des soirées chez ses partenaires commerciaux afin de favoriser les contacts entre clubs et sponsors. C'était au tour du garage Mercedes-Benz de Wemmel d'accueillir, pour la deuxième fois ce lundi 7 décembre, les représentants du monde sportif et commerçant de Jette. L'occasion aussi de remettre des chèques permettant à certains clubs de concrétiser des projets approuvés par le Conseil d'administration de l'asbl.

Il en a eu du travail, le Grand Saint, pour rencontrer tous les petits Jettois, école par école, quartier par quartier ! Mais grâce au Comité des Ketjes de Dieleghem, il est venu dans notre quartier pour le plus grand bonheur des enfants ... et des plus grands !!!

Jette est l’une des rares communes à posséder un parc de circulation.

Idéalement situé sur l’avenue du Laerbeek, il offre l’occasion aux enfants des écoles jettoises mais aussi de Kid’s Holidays et des organismes privés de stages pendant les vacances scolaires de s’initier au code de la route et d’apprendre les règles élémentaires de sécurité sur la voie publique.

Le rôle éducatif et pédagogique du parc n’est plus à démontrer et les enfants apprécient beaucoup le contexte ludique qu’il présente.

Je trouve cependant dommage que le parc ne soit pas ouvert au public sous certaines conditions. Le rendre accessible les samedis de 10 à 16h00 par exemple d’avril à septembre constituerait une bonne idée de sortie familiale, au même titre que le minigolf du Parc de la Jeunesse. En demandant un petit droit d’entrée, on pourrait ainsi joindre l’utile à l’agréable en proposant une offre de loisirs et de proximité.

Cette idée a-t-elle déjà été envisagée ?

Pourrait-on imaginer de la tester en 2016 ?

Faire face au défi démographique est l'une des priorités du Collège des Bourgmestre et Echevins jettois et ce fut donc avec fierté que nous avons inauguré le mardi 29 septembre dernier la nouvelle "Ecole de l'Arbre Ballon" qui accueille désormais 500 élèves. En présence des ministres Rudy Vervoort et Joëlle Milquet, nos mandataires ont découvert un établissement ultra moderne et fonctionnel répondant à toutes les normes de sécurité, d'écologie et de respect de l'environnement. Notre Echevin de l'Enseignement francophone, Geoffrey LEPERS, peut être fier de ce magnifique outil d'éducation implanté dans le nord de notre Commune !

Jette est connue pour ses très nombreux espaces verts et la Parc Régional Roi Baudouin en est d'ailleurs l'un de ses fleurons. De gros travaux de rénovation ont été entrepris pendant plusieurs mois et c'est le lundi 21 septembre que la Région et la Commune procédaient à l'inauguration du Parc fraichement embelli.

Le dimanche 20 septembre était la journée sans voiture, mais c'était aussi le jour consacré traditionnellement à la fête du quartier de Dieleghem. De nombreuses animations organisées par le Comité des Ketjes de Dieleghem assuraient une bonne ambiance dans les rues Volral, Decrée et la chaussée de Dieleghem. Etant désormais habitant du quartier, j'y ai passé toute la journée avec grand plaisir !

L'édition 2015 du Marché annuel jettois s'est déroulée sous un soleil radieux, ce qui a incontestablement contribué à son succès. La population jettoise a fait plus que doubler en ce lundi 31 août ce qui ne fut pas pour déplaire aux forains, maraîchers et commerçants. Après son ouverture officielle, les mandataires ont défilé dans les rues de la commune, l'occasion de nombreuses rencontres avec nos citoyens. L'album photos du Marché Annuel 2015 vous donnera un petit aperçu de la bonne ambiance festive qui régna tout au long de ce week-end.

Les élèves de l’école Jacques Brel ont organisé le mardi 26 mai dernier une « Journée de la Tolérance et du Bien Vivre Ensemble ».

C’était une initiative du « Café des Mamans » qui réunit régulièrement des mamans d’élèves, soucieuses des valeurs d’éducation et de respect, et parfaitement relayée par la direction de l’école et ses enseignants.

J’ai eu la chance de participer aux travaux préparatoires, en compagnie des professeurs de morale laïque et des différentes confessions ainsi que de quelques intervenants extérieurs et j’ai pu apprécier la volonté affichée par ces personnes de combattre toutes formes de racisme et de rejet de l’autre, sur base de ses croyances, de ses origines ou de sa couleur de peau.

La journée du 26 mai a donné lieu à une exposition où chaque confession et philosophie était expliquée par le biais de photos, de références aux croyances, aux coutumes, aux couleurs … Les élèves se sont ensuite retrouvés dans la cour de récréation pour y réciter textes et poèmes sur le thème de la tolérance et du respect d’autrui.

Enfin, une grande fresque fut dévoilée, montrant les dessins des enfants du premier degré.

J’ai fortement apprécié cette action et l’idée m’est venue de l’étendre aux différentes écoles de notre commune.

Pourquoi ne pas organiser une « Journée de la tolérance et du bien vivre ensemble » qui réunirait toutes les écoles jettoises, tant libres que communales ? Chaque école pourrait donner libre cours à des projets propres réalisés en interne le matin avant un grand rassemblement au Parc de la Jeunesse pour un pique-nique géant. On pourrait même y envisager une grande chaîne d’enfants véhiculant ces valeurs auxquelles nous tenons tant et qui restent toujours si fragiles.

C'est l'une des organisations annuelles de l'asbl "Sport à Jette" et c'était le lundi 22 juin que les équipes championnes, les sportifs victorieux et les clubs fêtant un anniversaire de longévité étaient reçus à la salle des fêtes communale. Le public était très nombreux, ce qui tend à prouver la bonne santé du sport jettois !

Je ne sais si vous avez déjà entendu parler du « street workout » mais je vais me faire un plaisir de vous décrire, en quelques, mots cette nouvelle discipline sportive qui attire de plus en plus de jeunes.

Les éditions Amphora, spécialisées, entre autres, dans les publications relatives à l’enseignement du sport vient d’ailleurs de sortir un livre intitulé « Entraînement urbain, la ville … votre salle de sport ». C’est dire que l’effet de mode est bien palpable !

Le « street workout », comme son nom le laisse deviner, est un concept de culture physique en milieu urbain. Les pratiquants utilisent en effet le mobilier (bancs publics, échafaudages, poteaux …) et naturel (arbres, pelouses …) afin d’y créer des figures gymniques.

Par des exercices de force, de résistance, de gainage, d’abdominaux et de pliométrie, ils améliorent leur condition et leur aspect physiques.

Cette activité n’est pas liée à des clubs de fitness ou autres organismes privés mais est réalisée de manière libre et ouverte à tous.

Les aficionados utilisent les réseaux sociaux pour communiquer et se rassembler en des endroits adaptés et attirent à chaque fois de très nombreux curieux qui ne demandent qu’à s’y essayer.

J’ai eu l’opportunité de discuter régulièrement avec ces sportifs et j’apprécie fortement les valeurs que leur activité véhicule : pas question de trainer à fumer ou à boire de l’alcool dans les parcs, ce serait contraire à leur ambition physique. Pas question non plus de détériorer les arbres, les bancs, le mobilier urbain en général qui est leur précieux outil de « travail ».

Il y a aussi une réelle convivialité autour de ces séances et il n’est pas rare que les badauds filment les exercices, applaudissent les exécutants ou demandent à pouvoir essayer l’un ou l’autre mouvement.

Les contacts sont toujours positifs et respectueux.

Les pratiquants de « street workout » se retrouvent régulièrement à Jette, au Parc de la Jeunesse. Leur seule déception est l’absence de barres fixes en bon état qui leur permettraient d’assouvir leur passion en toute sécurité.

Dans le cadre du « sport pour tous » dans l’espace public, notre Commune pourrait-elle envisager l’installation de quelques barres dans les allées du Parc de la Jeunesse dont la vocation sportive n’est plus à démontrer ? A côté du jogging, du football, du basket, du tennis, du roller-skate ou du mini golf, le « street workout » me semble bien mériter sa place au profit des sportifs jettois.

Ou pareille initiative serait-elle à prendre en charge par l’asbl communale « Sports à Jette » ?

Marquer ainsi notre soutien à des groupes de jeunes pratiquant des activités saines et ouvertes à tous serait un bel adjuvant !

Je vous remercie pour l’intérêt que vous porterez certainement à ma requête.

La réaffectation de l’immeuble jadis occupé par « Médecins sans frontières » rue Dupré fait l’objet de beaucoup de contestations parmi les habitants de la rue.

Plus de 400 personnes ont signé une pétition demandant, entre autres, de revoir certains aspects du projet « UPKOT » qui prévoit notamment la construction d’étages supplémentaires sur ce bâtiment et la création de 180 kots d’étudiants.

Il y a bien sûr plusieurs éléments positifs dans ce projet. Je pense avant tout au fait d’éviter que cet immeuble ne soit laissé à l’abandon et devienne un chancre urbain le long des voies du chemin de fer.

L’arrivée d’étudiants me semble aussi une bonne nouvelle car il s’agit d’un public jeune qui favorisera la vie économique et culturelle de la place Cardinal Mercier et qui n’est pas toujours  propriétaire de voitures.

Davantage utilisés, les tunnels sous les voies du chemin de fer n’en seront que plus sécurisants, de même que la présence physique des étudiants dans la rue, dans le quartier, en-dehors des heures de travail et en soirée.

Mais ce qui ne rassure pas les habitants de la rue Dupré, c’est l’importance de ce projet « UPKOT » et le nombre impressionnant de nouveaux habitants qu’il engendre.

Cela semble en effet démesuré pour le quartier.

Avec aujourd’hui plus ou moins 200 habitants dans la rue, la population serait pratiquement doublée !

Il va sans dire que la circulation y serait accrue au détriment du caractère calme et résidentiel de la rue.

Démolir le très esthétique et original « papillon de verre » qui surplombe le bâtiment est regrettable sur le plan architectural et augmenter sensiblement la hauteur en y ajoutant deux étages supplémentaires aura pour effet de diminuer la luminosité et l’alimentation des panneaux photovoltaïques installés sur le toit des bâtiments d’en face, dont les façades sont orientées sud.

Les riverains sont également inquiets face aux conséquences sur le stationnement.

Le parking de la gare est déjà saturé en journée et ne pourrait accueillir des véhicules supplémentaires, même en petit nombre.

Or une étude réalisée en 2013 par la VUB conclut que 54,2 % des étudiants jettois en kot en-dehors du campus universitaire disposent d’une voiture.

Au vu de ces chiffres, on pourrait craindre une augmentation potentielle de 98 véhicules motorisés à garer rue Dupré, sur le parking de la gare ou aux alentours.

Ce constat serait d’ailleurs plus problématique encore si l’on considère que les étudiants pourraient bien vouloir garer leur véhicule pendant la semaine près de leurs kots et utiliser d’autres modes de déplacement (vélo, transports en commun …) pour assurer les courts déplacements vers les hôpitaux ou campus.

Il va de soi aussi qu’en multipliant par deux le nombre d’habitants dans cette artère, le risque est grand de subir davantage de nuisances sonores : plus de circulation, plus de monde dans la rue. Qu’en sera-t-il du calme apprécié des riverains après les heures de travail ?

Je comprends aussi une certaine exaspération chez les habitants qui, après avoir subi les désagréments liés aux travaux de la gare et du réaménagement du Parc Roi Baudouin apprennent un nouveau projet qui perturbera sans conteste leur qualité de vie.

Ces nombreux éléments devraient inciter les promoteurs de ce projet immobilier à le rendre plus raisonnable et à en étudier l’impact sur la vie de quartier avec plus de réalisme et d’humanisme.

Je demanderais donc à nos Echevins concernés de bien vouloir faire passer les messages des habitants auprès des promoteurs afin de favoriser au maximum le maintien de la convivialité dans ce quartier appelé à vivre une mixité sociale enrichissante.

Je vous remercie pour votre attention.

Le Gouvernement flamand octroie, dans les limites des crédits budgétaires disponibles, des subsides aux écoles pour organiser des échanges de classe dans les pays voisins.

Via le programme « Buurklassen », une école flamande peut, une année scolaire durant, collaborer avec une école néerlandaise, luxembourgeoise, allemande, française ou britannique. Les échanges qui en découlent sont bien sûr profitables aux élèves qui, à l’image du concept « Erasmus » des plus grands, découvrent d’autres cultures et développent leurs capacités linguistiques et d’ouverture sur l’Europe. 

Des écoles de notre réseau communal néerlandophone ont-elles introduit leur candidature afin de bénéficier de ces subsides ?

Si oui, peut-on connaître le bilan de ces échanges ?

Si non, quelle est la position de notre Echevinat de l’Enseignement communal néerlandophone par rapport à de telles opportunités et ce projet rentre-t-il dans le programme futur ?

Je vous remercie pour l’intérêt que vous porterez certainement à ce sujet.

A l'initiative du "Café des Mamans" et des professeurs de morale laïque et de religions, une action "Tolérance" fut organisée le mardi 26 mai à l'Ecole Jacques Brel. L'objectif était simple : apprendre à mieux comprendre les autres au travers les différents courants religieux et philosophiques. Une belle exposition expliquait les spécificités de chacun des cultes, ses dates, ses traditions, ses grands principes, tandis que dans la cour de récréation, les enfants se rassemblaient pour réciter textes et poèmes. A l'issue des différents discours de la directrice et des représentantes du "Café des Mamans", une belle fresque, dessinée par les différentes classes de l'école", fut inaugurée. Je félicite sincèrement toutes les personnes ayant contribué à la concrétisation de ce beau projet et je les remercie de m'avoir invité à y contribuer si modestement.

Comme chaque année, des centaines d'enfants ont participé au "Cross des Ecoles", organisé par l'asbl "Sport à Jette" au Parc de la Jeunesse. Le temps était sec et nuageux ce mercredi 20 mai et a favorisé quelques belles performances parmi les élèves, quelquefois adeptes d'athlétisme. Jacques Borlée nous fit le plaisir de partager avec nous la remise des coupes et médailles. Il convient de remercier les services communaux pour l'aide précieuse apportée avant, pendant et après le cross ! A l'année prochaine pour de nouvelles épreuves toujours très passionnantes ...

L'album photos du "Cross des Ecoles Jettoises 2015" vous fera découvrir l'enthousiasme qui a caractérisé cette belle après-midi sportive.

Le quartier populaire  Esseghem était en fête ce samedi 2 mai : brocante et animations dans les rues et "Fancy-Fair" à l'Ecole Jacques Brel. Une occasion de plus pour rencontrer les habitants dans un climat bien convivial !

La ministre de l'Éducation, Joëlle Milquet, a promis devant le Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles le dépôt avant la fin de ce mois d’avril d'un avant-projet de décret visant à rendre facultative, dès septembre 2015, la participation aux cours de morale laïque ou de religions dans l'enseignement officiel, conformément à l'arrêt rendu par la Cour constitutionnelle.

Il appartiendra dans un premier temps aux écoles « d'occuper » ces élèves dispensés. Il pourra ainsi être approuvé par le Parlement avant l’été, et permettre de la sorte sa pleine application dès la prochaine rentrée scolaire.

Dès septembre, les parents qui le désirent pourront donc demander que leurs enfants inscrits dans l'enseignement officiel soient dispensés des cours de religions ou de morale laïque, obligatoires jusqu'à présent.

Il me semble dès lors judicieux d’ouvrir le débat aussi à l’échelon local afin de pouvoir évaluer au plus juste les moyens structurels et humains nécessaires à une telle réforme.

Cette réflexion devra par ailleurs être liée à l'introduction programmée, dès la rentrée 2016, d'une heure de cours de citoyenneté dans l'enseignement officiel en remplacement d'une des deux heures de religion ou de morale laïque.

Cette réforme qui toucherait notre enseignement communal francophone pose évidemment de multiples questions. Je me limiterai à trois interrogations dans un premier temps :

-         Quelles alternatives seraient proposées aux parents ? Envisagerait-on d’organiser des ateliers à vocation artistique ou ludique, des activités sportives ou de détente … ou se contenterait-on de garderies ou d’heures d’étude dirigée ?

-         A qui incomberait le financement de ces activités de remplacement ?

-         Est-ce bien raisonnable de ne confier l’éducation religieuse qu’à la sphère privée ? L’école n’aurait-elle plus de rôle à jouer à ce niveau-là ?

Si la plupart des réponses seront fournies d’ici peu par la Commission « Education » du Parlement, la Commune de Jette a-t-elle l’intention d’ouvrir un débat rassemblant les différents protagonistes du secteur afin de préparer le terrain dans un délai somme toute très court ?

Je vous remercie pour l’intérêt que vous porterez certainement à ce sujet.

Les habitants de la rue Pierre De Breuker constatent, au quotidien, le stationnement de nombreuses camionnettes dans leur rue alors que des panneaux E9b réservant le stationnement aux seuls véhicules particuliers sont bien visibles.

Ces camionnettes dépassent largement l’espace prévu au stationnement et lorsqu’elles sont garées simultanément des deux côtés de cette petite artère, rendent impossible le passage d’un véhicule de pompiers par exemple.

Les riverains ont déploré quatre incendies dans leur rue au cours de ces dix dernières années. L’un d’entre eux eut des conséquences dramatiques avec le décès de deux personnes âgées qui ne purent être secourues à temps.

Le véhicule des pompiers, dont je vous le rappelle la largeur est de 2,50 m, était bloqué par des camionnettes stationnées des deux côtés de la rue.

Peut-on se permettre de maintenir un tel risque compte tenu des expériences passées ?

Ne devrait-on pas renforcer les sanctions à l’égard des propriétaires de véhicules en infraction ?

Pourrait-on envisager des espaces de stationnement réservés pour ces camionnettes, relativement nombreuses sur le territoire de notre commune ?

Comme chacun d’entre nous j’imagine, j’estime que nous devons privilégier la sécurité de tous nos habitants en rendant leurs habitations accessibles aux véhicules d’intervention prioritaires et j’invite donc notre Collège à se pencher sur les meilleures mesures à prendre dans pareilles situations.

Les autorités jettoises ont reçu les nouveaux habitants de notre commune en la salle des fêtes. Ce fut l'occasion de leur faire découvrir de multiples aspects de Jette grâce, entre autres, à un diaporama et une exposition de photos. Des guides et publications tels que le "Jette en poche" et le "Go Jette" étaient à disposition. Les nouveaux Jettois ont aussi pu faire la connaissance de leurs mandataires du Collège et du Conseil communal avant de se retrouver pour le sympathique verre de l'amitié. Belle initiative communale en tous cas et bravo à l'Echevine Claire Vandevivere pour son exposé succint mais précis sur notre belle commune.